Zoom sur :

McLaren MP4/20 Kimi Raïkkonen
1/18 Minichamps




Plus Minichamps produit des McLaren est plus on aime Minichamps !!!!! Un soin particulier semble étre apporté à cette collection.
A croire que la Collection Mclaren est la branche luxe de Minichamps. Trés peu de défauts, un soin particulier semble estre mis lors de l'assemblage.

Un arrière train exceptionnel...






Vues par dessous, on y voit mieux les progrés dans l'aérodynamique
La qualité du plastique noir est toujour là, et donne bien l'illusion de l'aspect carbonne




Actuellement les decals semblent bien tenir et ne commencent pas à se décoller. A surveiller d'ici quelques mois.




On apprécie la presence du sponsors 'John..." On aurait pu penser qu'il ne serait pas mis tout comme les "W..." les loies anti pub sur l'alcool sont plus souple.


Pour ceux qui désire avoir la version tabac, il faudra encore attendre un peu, mais il ne fait pas doute que la planche de decals sera vite disponible


Pour les plus impatient d'entre vous, l'utilisation de la planche de la MP4/19, semble possible.
N' ayant aucun "W..." sur l'aileron arrière cela semble aller.

Chez Orphan Models ref D270


La MP4/20 en quelques mot et photos trouvés sur le net


MERCEDES-BENZ FO 110R V10
Type: 90-degree V10
Capacity: 2997cc
Valve Arrangement: 2 camshafts per bank
4 per cylinder
Cylinder Block: Cast aluminium alloy, wet liners
Cylinder Head: One piece sand cast aluminium alloy
Crank Shaft: Steel
Oil System: Dry sump
Ignition: TAG Electronic Systems
Fuel: Mobil 1 Unleaded
Lubricants: Mobil 1 products




2e au Chamionnat Constructeur,184 points
10 victoires, 7 poles, 11 records du tour

McLaren aurait dû, au moins, rafler une des deux couronnes. Mais déjà au soir du Grand Prix de Saint-Marin, quatrième manche du championnat, les chiffres, déjà, sont révélateurs. Renault compte quatre victoires et 46 points, McLaren pas une seule et que 25 point. Et voilà les gris contraints de courir après le score. Un début de saison brouillon, dû principalement au fait que les MP4/20 ne parviennent pas à mettre assez rapidement leurs pneus en température. Pour les qualifications, c'est un lourd handicap. Auquel s'en ajoute bientôt un autre. Blessé à l'épaule lors d'un match de tennis (version officielle), Juan Pablo Montoya doit faire l'impasse sur Bahreïn et Imola. De la Rosa et Wurz, les troisièmes pilotes dont le travail le vendredi sera précieux, le remplaceront superbement, mais le contexte n'est évidemment pas idéal. Au moins la voiture est-elle fiable. De retour en Europe, la voilà enfin perfor­mante. En pôle à Imola, Raikkonen est parti pour la gagne... et sa transmission cède. Tout un symbole d'une saison que McLaren aurait dû dominer mais plombée par de trop fréquentes absences.

Absences mécaniques, tout d'abord. Les casses moteur vécues par le Finlandais dès les essais (France, Angleterre. Monza) et en course (Allemagne) ont souvent coûté cher, de même que les abandons de Montoya à Magny-Cours et Budapest. Le pari du Nûrburgring, quand l'écurie décide de laisser Iceman continuer à un rythme effréné à cause d'Alonso à ses basques et en dépit d'un plat sur un pneu qui fait dangereusement vibrer la suspension avant droite, échouera spectaculairement. Absences humaines, aussi. Et là, on se tourne invariablement vers Juan Pablo Montoya. Monaco, Montréal, Hockenheim, Istanbul. Spa, Suzuka : autant d'erreurs évitables qui ont petit à petit fait pencher la balance. Après le doublé au Brésil, pourtant synonyme de perte du titre pilotes, l'espoir avait changé de camp, McLaren prenant pour la première fois la tête du championnat. Mais la sortie de route du Colombien au Japon renversa la vapeur, en dépit du succès de son équipier. Avec deux points de retard et les deux Renault en première ligne. Ron Dennis savait que le Grand Prix de Chine serait difficile. La malchance (une plaque d'égoût descellée sur laquelle roule JPM) fera définitivement pencher la balance, mais même sans cet incident, le losange serait demeuré hors d'atteinte. Reste à McLaren les yeux pour pleurer ? Oui et non. Bien entendu, la frustration est immense. Mais il ne faudrait pas oublier qu'en remportant dix des dix-neuf épreuves au calendrier, l'écurie de Woking a signé un magistral retour au premier plan, elle qui nous avait habitués ces dernières années à des prestalions en dents de scie : un titre manqué de peu en 2003 avec une monoplace 2002 modifiée, faute d'une héritière assez fiable, et une campagne 2004 trop vite flinguée par des casses à répétition. A McLaren de poursuivre sur sa lancée.

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photos : www.f1-live.com


La conclusion : Une F1 qu'il faut avoir, vice Championne du Monde la saison 200
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Elle trouve très facilement sa place a coté de ses soeurs



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