Zoom sur :

Williams BMW FW26 JP Montoya
1/18 Minichamps




la "Batmobile" ou le nez en "raie manta"

Le fameux nez, si révolutionnaire, qui ne le fut pas malheureusement.

Vues du cockpit



Je ne vais pas m'étendre sur la qualité de fabrication de Minichamps, Il n'a pas grand chose à redire.

Seul reste à améliorer les figurines, histoire de rendre plus vivant nos petites merveilles ...

Fiche technique de la FW26 :

Moteur : BMW V10, 3 litres
Transmission : WilliamsF1 semi-automatic
Clutch : Automotive Products
Chassis : Carbon aramid epoxy composite, manufactured by WilliamsF1
Suspension : Williams F1
Steering : Williams F1
Cooling System : Water and oil radiators
Freins : Carbon Industrie discs and pads operated by AP callipers
Lubrifiants : Castrol
Essence : Petrobras
Jantes : O.Z.; 13 x 12 avant, 13 x 13.7 arrière
Pneus : Michelin
Volant électronique : WilliamsF1 digital data display
Steering Wheel : Williams F1
Siége pilote: Anatomically formed in carbon/epoxy composite material with Alcantara covering.
Extinguisher Systems : Williams F1/Safety Devices
Paint System : PPG Industries
Front Track : 1800 millimetres
Rear Track : 1800 millimetres
Poids : 605kg including driver and camera weight


4e au Championnat Constructeurs, 88 points
1 victoire (Brésil), 1 pole


Williams-BMW affichait trois maigres podiums et 74 points : un bulletin indigne pour une écurie top niveau. L'an passé, les pensionnaires de Grove avaient capitalisé 144 unités, enlevant quatre succès et montant par ailleurs à huit reprises sur la deuxième ou la troisième marche, le tout en 16 Grands Prix ! Certes, la manchebrésilienne a permis de finir la sasion 2004 sur une bonne note, mais c'est un résultat en trompe-l'oeil.
En 2003, les FW25 se sont hissées vingt fois sur l'une des deux premières lignes de la grille, quatre poles à la clé, la FW26 douze fois seulement en 2004, n'étant au faîte de la hiérarchie chronométrique qu'à Montréal; circuit qui convient traditionnellement bien aux machines britanniques. La preuve : elles y ont réussi leur meilleur résultat d'ensemble avant Sao Paulo (12 points),,, annulé sur tapis vert pour non-conformité des disques de freins, (trop épais)
Le museau en raie manta concocté par le tandem Gavin Fisher-Antonia Terzi, accouplé à un système de suspensions à double quille, aurait pu être l'arme absolue. On y a cru lors des tests hivernaux. Mais dès Melbourne il a fallu déchanter : 6/10e de retard en qualifs. 1"1 en course, bouclée à plus d'une minute de la Ferrari de Michael Schumacher, 25 secondes derrière la Renault d'Alonso, troisième. L'originale FW26, ne valut pas mieux qu'une cinquième place aux dires de ses pilotes. Pour Ralf Schumacher, une série decontre-performances qui s'acheva par un énorme crash lors du GP des USA à Indianapolis,. Ecarté des circuits pendant plusieurs mois, son remplacement au pied levé par Gene fut loin d'être une réussite (contrairement à son intérim de Monza 2003). Puis ce fut le tour de Pizzonia, un peu plus convaincant, mais ne permit pas à Williams de se battre pour la deuxième place du champion des constructeurs, le seul qui compte aux yeux de Sir F.Williams. JP Montoya lui déjà fixé sur son avenir en F1 (chez McLaren en 2005) il se battit avec les armes dont il disposait, arrachant la seule victoire du Team à Interlagos au Brésil lors de la dernière épreuves du championnat. En résumé vivement 2005 pour le team Williams.



Lors des tests hivernaux



Lors de la présentation à la presse


GP San Marin


La fin annoncé du nez lors du GP de Hongrie,
où en course JP Montoya utilisa le nez classique


GP de Hongrie


Une seule victoire lors du dernier GP de la saison 2004 (Interlagos)

photos : www.f1-live.com, www.motorsport.com et www.gp2004.com


La conclusion : cette F1 est MAGNIFIQUE.



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